C’est une décision définitive : nous ne reviendrons pas au Svalbard pourtant si attrayant.
Un premier trip très agréable qui nous a permis de tester la solidarité maritime même avec les gros croisiéristes, lors d’un appel pour test Covid.
De beaux souvenirs filmés professionnellement, la tristesse du départ pour nous un grand espoir de faire une belle virée de 12 jours avec 2 couples d’amis :
cela aurait été sans la grève des pilotes scandinaves de SAS airlines aggravée par celle de la SNCF et de la RATP française.
Après bien des attentes et informations contradictoires on comprend que SAS préférant créer 2 petites compagnies Low Costs pour remonter les déficits dû au Covid ne réembauche pas à taux plein les pilotes qui s’énervent dans une ambiance passable depuis la grève des bagagistes qui dure depuis 1 mois +/- suivant les pays et le manque de personnel aux contrôles ralentissant les embarquements et faisant manquer les vols par les passagers quand ces vols ne sont pas retardés de 3 à 6h.
Pour passer le temps avant le prochain groupe qui on espère arrivera le 19 on recherche un coin calme avec de l’eau moins chargée de limons pour tondre le gazon sur la coque. Combinaison de 7 mm suffisante dans l’eau à 7/10 °C quand le courant de marée emporte les méduses.
Cette année Fred s’y colle pour tester sa nouvelle veste, Frédo n’ayant pas le genou à entrer dans sa salopette.
Petit mouillage bien sympa hormis qu’il n’y a pas de connexion GSM aboard.
On récupère néanmoins les emails par satellite et quelques textos en montant sur la colline.
Ce qui nous permet de voir que les vols ont repris… on rentre sur Longyearbyen faire l’avitaillement après le rush du week-end.